Le problème auquel Moscou est confronté alors que son invasion approche de sa troisième semaine est que l’Ukraine n’est pas la Syrie : la Russie ne s’est pas engagée dans un conflit lointain où elle peut simplement larguer des bombes puis s’en aller, selon une analyse du Jerusalem Post.
Les questions de Pesemeni hantent déjà Moscou, qui perd ses liens avec le commerce international et le monde du sport.